Chaque mois retrouve des pistes de réflexion sur une thématique féministes arpentée collectivement lors des Cercles. Et une bibliographie commentée et réjouissante pour lire sur le sujet !
Pardonnez cette newsletter sans trop de livres 🥲 c'est que j'ai tout remplacé par des perspectives féministes réjouissantes pour septembre, des bulles d'oxygènes livresques et des nouveautés pétillantes. C'est pas une newsletter, c'est une piñata.
Le féminisme c’est une affaire de liens et de collectif. À l’inverse, je trouve que la lecture c’est souvent la passion des âmes solitaires. Avec les Cercles, j’essaie de résoudre ce paradoxe en faisant de nos livres, un moyen de sauter à pieds joints par dessus le small talk pour plonger dans le tendre, le vrai. Rejoins-nous à la rentrée !
Les femmes sont ramenées sans cesse à leur corps, mais leurs douleurs elles, viendraient surtout de leur esprit. Aucune newsletter n'aura comporté autant de liens, d'adresses et de conseils 😅. Mais l’entre-aide sur la santé, des remèdes de grands-mères jusqu'aux IVG clandestins du MLAC, fait partie de l’adn féministe, non ? Bonne lecture
Les femmes sont ramenées sans cesse à leur corps, mais leurs douleurs elles, viendraient surtout de leur esprit. Aucune newsletter n'aura comporté autant de liens, d'adresses et de conseils 😅. Mais l’entre-aide sur la santé, des remèdes de grands-mères jusqu'aux IVG clandestins du MLAC, fais partie de l’adn féministe, non ? Bonne lecture
Les féministes ne croient plus aux princes charmants, ni à la marche passive vers le progrès, pas plus qu'au "c'était mieux avant", elles ne croient plus à la femme pacifique par nature, ou à la saleté des règles. De même, elles savent que personne n'est invisible, mais plutôt qu'on invisibilise à grands renforts de mensonges et d'un travail acharné.
Les féministes ne croient plus aux princes charmants, ni à la marche passive vers le progrès, pas plus qu'au "c'était mieux avant", elles ne croient plus à la femme pacifique par nature, ou à la saleté des règles. Elles savent que personne n'est invisible, mais plutôt qu'on invisibilise à grands renforts de mensonges et d'un travail acharné
Parfois, les Cercles partent d'un lieu pour poser un regard féministe. À défaut de soirée pyjama, de forts d'oreillers ou de cabanes de draps on a été une bonne vingtaine à prendre place dans les librairies pour
Le fond du lit c’est à la fois, l’endroit des pieds froids, le cimetière des miettes de chips et un lieu à faire sien complètement. Refuge, sommeil, dépression, convalescence ou vie érotique sont autant de notions que le capitalisme dispute à ce temple du temps improductif.
L'insolence nous pique comme une évidence et pourtant, à y regarder de plus près, sa géométrie est variable. L'insolente nous parle de justice et d'injustice, elle établit un rapport de force là où il y avait domination et impose sa légitimité à garder le menton levé. Sale gamine ou justicière ?
Où on apprend que l'insolence n'est pas une insulte mais un rapport de force. Que l'Histoire et nos histoires (celle du mouvement féministe) ne seraient rien sans cette compétence reliée droit au cœur, à l'enfance et au panache de l'adolescence. (Une newsletter avec des vrais morceaux de pétition et d'actions militantes dedans 🍪). Bonne lecture !